Une commission mixte de l’APW inspecte les lieux

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Elle a vérifié de plus près l’état des lieux et s’est enquise des conditions de scolarité des lycéens affectés au collège converti en annexe de lycée

Composée de M. Mokrane Hamoudi, président de la commission investissement,  développement local, équipement et emploi, de Mme Roza Habichi, présidente de la commission communication et technologie de l’information ainsi que de M. Belaïd Kellal et Mlle Salima Taleb, membres de la commission éducation, formation professionnelle et enseignement supérieur, une commission mixte de l’APW s’est rendue, dans la matinée de jeudi dernier, dans la localité de M’Kira pour s’enquérir, notamment de la situation du nouveau lycée où les travaux s’éternisent. « Nous sommes là pour voir de plus près non seulement l’état des lieux de ce nouveau lycée, mais de nous informer également sur la scolarité des lycéens qui ont été affectés au collège «base5», converti en annexe de lycée en attendant l’achèvement des travaux, d’autant plus que beaucoup a été dit sur cet établissement durant toute cette période de la rentrée scolaire. Ce qui n’a pas du tout rassuré le P/APW qui nous a chargé de cette mission », nous déclare, d’emblée, M. Belaïd Kellal. Cependant, après avoir longuement visité tous les recoins du chantier, aucun membre de ladite commission n’a voulu s’exprimer, laissant entendre seulement que les travaux avancent, mais sans dire de quelle manière, ni à quelle cadence. Par ailleurs, au collège «base5 », les membres de la commission semblaient satisfaits de la situation qui prévaut malgré quelques lacunes. « L’essentiel c’est que tous les élèves sont scolarisés et que chacun a trouvé sa place », nous déclare Mme Rosa Habichi qui, semble-t-il, a réservé ses remarques, comme ses compagnons d’ailleurs. Sur le chemin du lycée, les parents des élèves rencontrés n’ont pas hésité à nous approcher pour faire passer un appel au wali auquel ils demandent de venir en personne pour voir la situation de ce chantier ou plutôt de cette carrière dont le terrassement n’en finit pas. « Il faut que le wali vienne ici comme il l’avait fait lors de la pose de la première pierre», nous lancent nos interlocuteurs.

Essaid  Mouas

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