Trois ans après son inauguration, le nouveau lycée d’Ait Yahia érigé sur la crête de Boushel et qui porte, désormais, le nom du martyre « Ould Brahem Mohend Arezki », reste sans gaz de ville au grand dam des élèves et du personnel éducatif. Pourtant, les travaux du raccordement du cet édifice scolaire tout comme pour les logements sociaux, sis dans le même endroit, sont achevés depuis longtemps, néanmoins la mis en fonction de cette commodité de base est un rêve fondé sur neige. C’est dire, les élèves de ce lycée passeront l’hiver encore, cette année, sans gaz de ville.
Slimane Ben Addi
