7 millions de DA pour l’APC

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Une enveloppe financière de sept millions de dinars vient d’être accordée à la municipalité de Aïn Zaouïa.

«C’est une enveloppe financière importante qui nous vient dans le cadre du budget spécial (BS) 2013 de l’APW. C’est une cagnotte qui nous permettra de réaliser tout de même quelques opérations », nous confiera le maire de cette municipalité où les manques sont visibles, notamment en ce qui concerne le réseau routier et l’assainissement. Cet argent est destiné à améliorer les réseaux d’assainissement et à programmer une aire de jeu pour le village Tizi N’Dlest, à la périphérie du chef-lieu. « L’opportunité est du côté des jeunes de Tizi N’Dlest qui ont tant attendu une aire de jeu. Alors que nous avons aussi quatre assainissements à Tizi Ameur, à Tizi N’Dlest, au chef-lieu, plus précisément au hameau des Terkmani et à Ain Zaouia-village. Tandis qu’à El M’Chemel, c’est une route qui est programmée », ajoutera le P/APC. Si ces opérations annoncent la bonne année dans cette commune où, rappelons-le, la fin de l’année écoulée a été mouvementée, ce qui est attendu par les élus locaux est le lancement des opérations dans le cadre de l’amélioration urbaine. « Les opérations sont ficelées et leur argent existe, nous attendons seulement leur lancement. Le dallage de tout le boulevard allant du CEM jusqu’au lycée en cours de réalisation et bien sûr les trottoirs et le bitumage des axes vers les quartiers sud du chef-lieu sont pris en charge. En tout cas, nous avons les engagements des services concernés que ces opérations ne tarderont pas à être lancées car les entreprises sont retenues », conclura le maire. Pour un autre élu, le défi à relever est celui de généraliser le raccordement de toute la commune au gaz naturel. « Les avis d’appels d’offres sont lancés. Il faudrait juste attendre que les procédures réglementaires soient closes. Sinon, je dirai que tout est acquis », estimera cet élu. Dans cette commune semi rurale, le renforcement du réseau routier est l’une des préoccupations majeures des élus. « Qu’on nous laisse travailler et chacun aura sa part de développement », nous répondra un autre élu juste après la série de contestations qui ont secoué la municipalité.

Amar Ouramdane

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