Deux proches de Mira disent s’être «trompés» en le soutenant

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AssamTarik et Benhamouche A. Malek, vice-présidents de l’APC de Tazmalt, sont montés au créneau, pour s’en prendre à l’édile communal, M. Smaïl Mira. En effet, dans une déclaration, ces deux élus se plaignent d’avoir été « jetés en pâture par celui que nous avons choisi pour conduire notre liste. Nous sommes victimes d’une grossière machination et d’une mise en scène machiavélique, ayant conduit à notre mise à l’écart ». Les rédacteurs du document s’inscrivent en faux contre leur mise à l’écart qu’ils qualifient d’ « illégale » d’autant plus que le maire « a agit dans l’opacité », s’offusquent-ils. Un procédé jugé « irresponsable, immoral et honteux ». Assam et Benhamouche estiment qu’ils payent les frais de « leur honnêteté et de leur probité », après avoir dénoncé « la gestion unilatérale du P/APC, ses absences longues et répétitives, son non respect du règlement et l’influence de ses décisions par un « exécutif parallèle». Enfin, les deux élus se disent convaincus que la « correction de la trajectoire », prônée par Mira, est une « supercherie » et qu’ils ont été « induits en erreur » en rejoignant cette liste. Tout en mettant au défi le P/APC de présenter un bilan de ses « propres réalisations », les rédacteurs du document renouvellent leur sermon à la population de la commune de « continuer de porter dans l’assemblée, haut et fort, ses préoccupations».                      

  N. M. 

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