Entre traits et bulles

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D.D.K : Comment expliques-tu ta passion pour les bandes dessinées ?Samir : Enfant, je ne ratais aucun dessin animé à la télévision. J’ai encore en mémoire quelques émissions et quelques héros qui m’ont fasciné…

Quels étaient ces D. A. ?Je me rappelle de Felix le chat, Hutchi la petite abeille, Demitan la grenouille, Cap’tain Majed, Grundaïzer, Tom et Jerry…

Parle-nous de tes débuts dans le dessin…— Le premier personnage que j’ai dessiné c’était Felix le chat. Je le trouvais presque humain. Il a un coté naïf et un côté roublard et puis ses traits sont très distincts… Il est noir avec un ventre blanc. Un chat pareil n’existe pas en réalité. C’est une caricature.

Justement, comment as-tu pris goût à la caricature ?— C’est le dessin de presse qui m’a le plus intéressé, notamment les dessins du jeu des “7 erreurs”. J’ai aimé aussi les caricatures du journal El Manchar. Alors je me suis inspiré pour quelques essais.

Qu’est-ce qui est primordial pour toi, la bulle ou le trait ?— Une caricature ou une BD, c’est d’abord un joli dessin, dénué de rajout ou de fantaisie. Bien sur une bonne légende saupoudre l’humour mais un bon dessin peut se suffire à lui-même.

Un caricaturiste alors ?— Plutôt deux : MAZ et Slim

Une BD ?— “Ça, c’est du sport !”

Un D. A. ?— Tout le Disney-Land pourvu que “Ca cartoon”.

Un personne ?— Tintin, c’est net et propre.

Un film de D.A. ?— J’ai aimé Asterix et Obelix.

La BD chez nous ?— C’est un problème de prise en charge.

Tanemirt aya comique— Tanemirt, pourtant je suis très sérieux.

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