Entretien express

Partager

La Dépêche de Kabylie : Un cœur à prendre est donc votre 5e roman. De quoi parle-t-il ? 

Tarik Djerroud : C’est un drame social qui traite l’histoire d’un double crime commis dans un village kabyle. Les victimes sont l’imam et la sage-femme du village.

D’où vous est venue cette idée ? 

Ce roman est inspiré de faits réels. L’imam et la sage-femme pratiquaient la sorcellerie. Ils ont été tués, le jour du mariage de la fille aux 1001 prétendants, par l’un de leurs clients déçus. L’inspecteur de police chargé de l’enquête ne put trouver ni l’arme du crime ni le mobile. Il se retrouve dans une confusion totale lorsqu’il se retrouve face la dernière personne qui a vu la sage-femme vivante. Il s’agit de la jeune fille aux 1001 prétendants dont il tombe amoureux. 

Pour quand votre prochain roman ?    

Pour le moment, rien n’est encore écrit. Mais plusieurs idées me trottent dans la tête. Je les mettrai noir sur blanc au moment opportun. 

Propos recueillis par A.G.

Partager