Pour Seddik Chihab, si la question de la vice présidence ne figure pas dans le « brouillon » présenté il n’en demeure pas mois qu’elle « n’est pas, non plus, écartée », nous a-t-il indiqué hier, en marge de la journée d’étude organisée au siège national du parti. Pour lui, « il suffirait que la classe politique, dans son ensemble, ou une partie représentative de celle-ci, vienne à en faire la demande, considérant que le poste de vice-président s‘avère une nécessité et bien pourquoi pas !», a-t-il tonné en soulignant le fait majeur que « tout est discutable ».
F. Z.