L’assemblée populaire communale de Seddouk a lancé plusieurs avis d’appel d’offres par voie d’affichage pour la réalisation de plusieurs projets de travaux publics, accordés pour la ville et les villages de la commune dans le cadre des plans communaux de développement.
Ainsi, la première consultation portant le N° 39/2014 est un deuxième avis lancé pour la réalisation de l’aménagement urbain de la route reliant la RN74 au CEM Bounzou Zoubir de Seddouk Ouadda à Tibouamouchine de 110 ml, dont le premier avis est sorti infructueux. Le second projet de cette consultation concerne l’aménagement urbain et le revêtement de la voie de l’école Takhlicht sur 160 ml. La deuxième consultation portant le numéro 40/2014 est lancée pour l’acquisition d’un tableau d’affichage électronique pour le siège de l’APC, pour donner des informations au temps réel à la population. La troisième consultation portant le numéro 42/2014 concerne le projet d’aménagement urbain en pavé et éclairage public du tronçon de la route allant du rond point de la daïra à la placette du siège de l’APC sur 180 ml. Il est a signalé que d’autres consultations par voie d’affichage ont eu lieu au mois de mars passé. Elles concernent, le bétonnage de la ruelle principale du village Tizi Larbaâ, l’aménagement urbain du tronçon de la RN74 allant de la fontaine Aâdha vers Seddouk sur 310 ml, l’aménagement urbain des ruelles de la cité Bouhia dans la ville de Seddouk sur 600 ml et l’aménagement et revêtement du chemin reliant le CW141 au cimetière de Laâzib Mouhli. Ce que les gens n’arrivent pas à comprendre, c’est le fait que des routes accessibles aux véhicules, notamment lourds, soient revêtues d’une couche de béton au lieu du bitume. En Allemagne, la couche de bitume usuelle sur la route carrossable va jusqu’à 70 cm, en France jusqu’à 30 cm. Non seulement le béton est vulnérable au poids des camions lourds, mais le plus souvent, il est mal fait notamment sur le plan de la consistance et la couche de 10 cm usuelle qui n’est pas respectée. La commune de Seddouk a le privilège d’avoir une station privée d’enrobage du bitume et elle continue à privilégier le béton. Est-ce la citation du cordonnier mal chaussé ?
L. Beddar