Clôture aujourd’hui

Partager

La première édition du Festival de la poésie d’expression amazighe, en hommage à Smail Azikiw, dont le coup d’envoi a été donné jeudi dernier à Aït Zikki, sera clôturée aujourd’hui, dimanche. Cet événement culturel est une initiative de l’association d’activités et de loisirs, de la maison de jeunes d’Ath Zikki, en collaboration avec l’APC et l’Association Smail Azikiw, du village Taourirt Bouar. La cérémonie de clôture, devant accueillir de nombreux invités dont les organisateurs, les autorités locales, les représentants de la Direction de la culture de la wilaya et autres invités et associations, sera rehaussée par la remise des prix aux gagnants du concours du meilleur poème en tamazight. Des gagnants qui ont été choisis, hier, par les membres du jury au terme des délibérations ayant suivie les récitals poétiques des participants. M. Haddouche Djilali, président de l’association culturelle « Smail Azikiw », parle de près d’une centaine entre participants au concours et déclamateurs hors concours. Pour les deux premiers jours de la manifestation, les invités ont eu droit à un programme tout en poésie amazigh, avec la participation de poètes en herbes qui ont réalisé des déclamations de poésie. Ceci en plus d’autres activités comprises dans le programme de cette première édition, à l’image de représentations théâtrales jouées par la troupe Fethoune de Chellata, mais aussi de la coopérative théâtrale Imesdourar d’Illoula Oumalou, de la danse folklorique effectuée par la troupe de la maison de jeunes d’Ath Zikki, ainsi que des chants traditionnels berbères interprétés par Mmes Djedjiga Bourai et Bekkou Ferroudja. Un documentaire intitulé « Isefra de Smail Azikiw » a été également diffusé pour l’occasion, en plus d’un gala artistique qui a été animé hier soir. A noter, qu’en plus d’une vente dédicace qui a été proposée au public, plusieurs objets traditionnels tels que la robe kabyle, des tableaux de peinture et des repas traditionnels sont exposés depuis le lancement de ces festivités.

T. Ch.

Partager