Arrivée à la fleur de l’âge (22 ans), universitaire à Béjaïa, la jeune D. H. ne pouvait qu’aspirer à un avenir meilleur. Et pourtant, elle avait mis fin à ses jours en début de soirée samedi dernier aux environs de 17 h 30 en avalant un insecticide selon la déclaration des uns et des autres. Elle avait été retrouvée morte par ses parents dans le jardin familial. Les pompiers, alertés ont sur le champ évacué le corps de la défunte vers la morgue de l’hôpital d’Aokas.En attendant l’autopsie du médecin légiste qui déterminera les causes de sa mort, la population locale se pose la question de savoir l’origine de ces suicides en série dans la région.
A. G.