La poussière envahit la ville

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l En été, la ville de Bouira subit tous les jours des assauts de poussières. La partie sud de la ville, notamment le boulevard Zighout-Youcef, l’artère la plus importante de la ville, est tout particulièrement poussiéreuse. Et comme elle est exposée aux quatre vents, de petites “tornades” se chargent d’importuner les piétons avec des particules entassées sur les trottoirs et les rigoles qu’occasionnellement nettoyées.En hiver, c’est au tour de la gadoue d’enquiquiner les Bouiris. A ce sujet et même, si quasiment l’ensemble des quartiers de la ville souffrent de la boue ; la gare routière est cependant la mieux servie. Les villageois qui s’y rendent ne se sentent certainement pas dépaysés. D’ailleurs sachant où ils vont mettre les pieds, ils gardent leurs bottes. Pourtant, il suffit de carreler ou de bitumer les sols envahis par la boue. Cela coûterait quoi ? 260 millions plus 62 millions dont sont redevables nos élus pour histoire de … panse.

B. B.

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