Jean-Guy Wallemme, un autre fusible qui saute !

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Le coach Jean Guy Wallemme devait résilier son contrat, hier soir, après la défaite de son équipe face à l’ESS, avant-hier soir, au stade du 8 Mai 1945 à Sétif. Le coach kabyle devait, d’ailleurs, rencontrer l’avocat du club, en l’occurrence Ali Ouali, pour la résiliation du contrat et la séparation, ainsi, à l’amiable avec les Canaris. Le président Hannachi n’a pas assisté à cette réunion vu qu’il a rallié la France dans l’après-midi d’hier pour régler quelques affaires personnelles. La séparation des services de Wallemme était attendue et ce n’est une surprise pour personne. En plus des résultats qui n’ont pas suivi depuis son arrivée, il a perdu le contrôle du groupe depuis plusieurs semaines. Wallemme a bénéficié d’un sursis à deux reprises, à savoir après l’élimination en coupe face à l’ESS, puis après la défaite face au MCA en championnat au stade du 1er novembre. Venu à la JSK le mois de Janvier passé il a travaillé quelques mois avant de procéder à la résiliation de son contrat hier soir. Wallemme est le quatrième entraîneur qui quitte la JSK cette saison, après Ait Djoudi, remercié avant même le début de saison, Hugo Broos et François Ciccolini qui, eux aussi, ont travaillé quelques mois avant de claquer la porte. Ainsi, Wallemme devrait quitter la ville de Tizi-Ouzou dans les toutes prochaines heures. Dans l’entourage du club, on évoque le retour de Mourad Karouf dans le staff technique kabyle.  Sur un autre plan, le manager général, Samy Idrès, a pris la décision, hier matin, de démissionner de son poste. C’est ce qu’on a appris d’une source sûre. Touché dans son amour propre après les insultes des fans à l’issue du match des Canaris face à l’ESS, disputé avant-hier soir à Sétif, le manager général kabyle a pris la décision de déposer sa démission au président Hannachi. Reste à savoir maintenant s’il reviendra sur sa décision ou bien une autre personne sera nommée au poste du manager général, c’est ce qu’on saura dans les prochaines heures.              

 M. L. 

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