Le stationnement des différents véhicules des transports en commun connaît des fortunes diverses dans la ville de M’Chedallah, double chef-lieu de daïra et de commune.
Les espaces destinés pour le stationnement pour les transporteurs de voyageurs sont toujours sujet à controverses de la part des usagers notamment, en ce sens que les commodités les plus élémentaires n’y existent guère dans les différents arrêts. Des aires de stationnement maquant d’aménagement, comme pour la station de fourgons située en bas de l’hôpital de la ville, et encombrantes, comme c’est le cas pour l’arrêt des fourgonnettes, appelées communément «les capsules», car situé à proximité du siège de l’APC. Néanmoins, sur ce dernier point, l’arrêt de ces «capsules» a été déplacé vers la rue Akkache Amar, située un peu plus en bas du siège de l’APC, comme nous l’avons remarqué ces derniers jours. En effet, ce nouvel arrêt aménagé à la faveur des transporteurs par moyen de fourgonnettes a désengorgé les alentours de l’APC, où la placette paraît plus spacieuse. Il n’y a plus d’encombrement comme auparavant, et ce conflit d’espace entre les voitures administratives et les « capsules » a cessé d’empoisonner la vie aux deux parties ! Tant mieux alors. Néanmoins, la station de fourgons qui desservent plusieurs communes comme Chorfa, Tazmalt, El-Adjiba, Bechloul,… n’a pas vu d’amélioration, et les choses en sont restées là depuis des années. Hormis le terrain qui a été revêtu avec une couche du bitume, autre chose c’est le statu quo. Il y a toujours ces deux abribus, non munis de bancs, rouillés et « grillés » de surcroît par les rayons du soleil, lesquels ombragent un tant soit peu les usagers. L’arrêt de fourgons qui font la navette entre M’Chedallah et Saharidj, sis en haut de la ville, n’est pas, non plus, mieux loti. Les voyageurs font le poireau en s’asseyant à même les bordures des trottoirs en attendant l’arrivée des fourgons, sous un soleil de plomb en plus!
Y. Samir