Nécessité d’une prise en charge

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Cela fait plus de trois mois depuis qu’un pan entier du mur de soutènement, qui longe la rue Akkache Amar, en dessous du siège de la daïra de M’Chedallah s’est effondré. À présent, les débris sont toujours là sur les trottoirs et la chaussée, et la circulation automobile et piétonnière se trouve sérieusement perturbée ! Cet effondrement est causé vraisemblablement, par un glissement de terrain, survenu vers la fin du mois de janvier écoulé durant lequel des pluies diluviennes sont tombées en rendant le sol fragile et instable. L’écroulement de ce pan du mur a fait craindre le pire aux passants et aux autorités locales, d’autant plus que le siège de la daïra le surplombe à la lisière. On ne sait par quel miracle la bâtisse ne s’est pas écroulée avec l’affaissement dudit mur. Cependant, rien n’indique que d’autres pans de ce mur, qui longe la rue Akkache Amar sur une centaine de mètres, ne s’écrouleraient pas, du moment qu’ils se trouvent fragilisés. La moindre forte averse pourrait accentuer ce problème. Aujourd’hui, le danger ne semble pas, pour autant, être écarté. Néanmoins, l’APC, consciente du danger que représente ce mur qui présente des signes de vétusté flagrante, a décidé enfin, de prendre en charge la réfection de cette partie. Une source nous a appris qu’une consultation par voie d’affichage a été lancée, et l’on attend les soumissions. « Bon, il était vraiment temps que les autorités prennent en charge ce problème qui menace la vie des citoyens, d’autant plus que la rue Akkache Amar est très fréquentée que ce soit par les élèves, en particulier, et par les habitants en général! », nous dit en substance un citoyen rencontré au chef-lieu.

Y.S.

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