Ath Bouali nous écrit

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Réagissant à un article paru dans notre édition du mercredi 24 juin et intitulé «Ath Bouali à l’heure du Ramadhan», l’association Tidukla, portevoix du village Ath Bouali, nous écrit pour dénoncer sévèrement les propos relevés dans ledit article. Il s’agit essentiellement d’une métaphore mal interprétée. Le passage en question dit : «ce n’est qu’à partir de 16h que le village commence à s’animer, où les habitants sortent, comme des chacals de leurs tanières, à la recherche de la nourriture». Cette regrettable métaphore est bien évidemment valable dans le contexte du Ramadhan et dans l’ensemble du pays. Cela étant, nous comprenons que la phrase soit ressentie comme «des mots injurieux, blessants et désolants» comme écrit dans le document de l’association. Nous tenons à présenter nos excuses aux citoyens d’Ath Bouali qui se sentiraient blessés ; nous leur affirmons qu’il n’est pas dans notre intention, loin s’en faut, de porter atteinte à leur dignité et nous les assurons de la disponibilité du journal d’accompagner la dynamique des villageois, comme nous l’avons toujours fait.

Y. Samir

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