Dans le cadre de ses activités permanentes, la sûreté de wilaya de Boumerdès a traité, durant le mois de mai dernier, pas moins de 161 affaires de droit commun, ayant impliqué 198 personnes, dont dix (10) femmes, trois (03) mineurs et sept (07) étrangers.
Le communiqué de l’instance sécuritaire étatique précitée fait état de la mise sous mandat de dépôt de 34 mis en cause, de 29 personnes concernées par la citation directe et du renvoi des dossiers de tous les autres aux institutions juridiques concernées. En matière de lutte contre le trafic de drogue, les brigades policières locales ont traité pas moins de deux (2) affaires, dont douze (12) relatives à la consommation de kif traité ou de psychotropes, sans ordonnance médicale, et huit (08) liées à la commercialisation prohibée de cette substance nocive. Cette activité judiciaire avait fait suite à la saisie de 88 grammes de kif traité et de 365 comprimés de psychotropes et à l’arrestation de 32 inculpés, dont 23 ont été placés sous mandat de dépôt, alors que les dossiers des autres mis en cause ont été envoyés aux instances juridiques concernées. Au titre des délits de coups et blessures volontaires, les services locaux de la sûreté de wilaya ont traité toujours en mai dernier, pas moins de 52 affaires pour lesquelles 51 personnes dont quatre (04) femmes et deux mineurs ont été impliquées. Les dossiers de tous ces mis en cause ont été envoyés aux instances juridiques concernées. Concernant le délit de menace contre Autrui, ce bilan fait état de neuf (09) affaires ayant impliqué neuf personnes, parmi elles trois femmes, et dont les dossiers ont été envoyés aux instances concernées pour un complément d’étude. En terme de crimes économiques et financiers, les éléments de la police judiciaire ont traité six (06) affaires ayant mis en cause sept personnes adultes, dont les dossiers sont au niveau des instances juridiques de leur circonscription. Le même mensuel fait aussi état du traitement de 25 affaires de profération de grossièretés, ayant impliqué 26 personnes adultes, dont les dossiers ont été également envoyés aux instances juridiques concernées pour un complément d’étude. Il y eu, enfin, le traitement de trois délits d’atteinte aux mœurs sociales, ayant mis en cause trois personnes, toutes placées sous contrôle judiciaire.
Salim Haddou