“On se rabat sur la résine faute de corail”

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«Le métier de bijoutier en tant qu’art risque de disparaitre à long terme. L’indisponibilité de l’argent et du corail ne fait qu’aggraver la situation qui est déjà très compliquée. Nous sommes en effet confrontés à beaucoup d’autres écueils tels l’écoulement de nos produits et autres tracas administratifs. Le manque de corail nous oblige par exemple, depuis quelque temps déjà à transgresser nos traditions en optant pour cette résine que nous utilisons à la place du vrai corail. Une méthode imposée par un contexte et une situation. Ce n’est pas du tout un choix».

Propos recueillis par Hocine Moula

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