Sellal assure que les modifications prévues par la LF 2017 n’affecteront pas le pouvoir d’achat
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a indiqué dimanche à Alger que le projet de Loi de finances (LF) 2017 qui sera examiné cette semaine introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique sans affecter le pouvoir d’achat des citoyens. Le projet de Loi de finances 2017 qui sera examiné cette semaine introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique et renforcer le front social, a déclaré M. Sellal à la presse en marge de l’ouverture de la session parlementaire. La LF 2017 est « la mise en oeuvre de la première année du nouveau modèle politique et économique » qui vise à « consolider l’économie nationale et l’investissement, notamment national, et à renforcer la production industrielle et agricole », a souligné le Premier ministre. La loi introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique et renforcer le front social, a dit M. Sellal, précisant qu’aucune décision n’avait été prise pour la hausse des impôts. Il a toutefois assuré que s’il devait y avoir une hausse des impôts, celle-ci serait minime et n’affecterait pas le pouvoir d’achat des citoyens.
Des évaluations bientôt effectuées pour fixer le quota des importations de véhicules de 2017
Plusieurs secteurs procéderont bientôt à des évaluations visant à définir le contingent quantitatif des importations de véhicules pour l’année 2017, a indiqué dimanche à Alger le ministre de l’Industrie et des Mines Abdesselem Bouchouareb. « Le quota pour 2016 a été réglé et pour 2017, le groupe de travail (regroupant les secteurs du Commerce, de l’Industrie et des Finances) va se réunir pour faire des évaluations et des propositions aux départements concernés, à savoir les ministères du Commerce et de l’Industrie », a déclaré M. Bouchouareb à l’APS en marge de l’ouverture de la session parlementaire ordinaire de l’APN (2016/2017). Interrogé pour savoir si ce quota était en hausse ou en baisse par rapport à celui de 2016, il s’est contenté de répondre: « Je ne peux vous le dire car il faut d’abord faire l’évaluation de 2016 avant de définir le quota de 2017 ». Fixé initialement à 152.000 unités pour l’année 2016, le contingent quantitatif d’importation des véhicules a été finalement réduit à 83.000 unités.

