Déclaration de l’association

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«Nous, membres de l’association culturelle à but non lucratif «Ti3winin» de Bouzeguène village, outrés par le comportement aberrant de certains faux responsables du centre culturel de Bouzeguène, déplorons une anarchie indescriptible au sein de cette structure. Censée accueillir de riches programmes et activités culturelles, le centre culturel de Bouzeguène, sans directeur et sans animateurs, est abandonné aux quatre vents. La grande salle est non seulement devenue une salle de sports de combats, mais aussi une propriété privée. Souvent, on se voit contraints de supplier de nous sortir les chaises pour commencer une conférence. A chaque conférence, c’est un branle-bas de combat qui s’engage. Les toilettes pour femmes ont été fermées pour servir de bureau ou de chambre à un membre de l’association sportive, et ce, au vu et au su de tous. Le centre culturel de Bouzeguène doit retrouver sa vocation première, à savoir la culture. Pour ce, les autorités locales sont appelées à intervenir. Notre association organise diverses activités culturelles et artistiques, dont des conférences tenues par des experts, des ateliers de formations dans divers domaines artistiques, des mois littéraires, ainsi que des voyages culturels».

Le président K. Bessaci

Réponse du club
En réponse à certaines déclarations des animateurs du café littéraire, le président du COS Bouzeguène répond : «En ma qualité de l’un des deux Présidents ayant fait l’objet de critiques, je déclare que je ne connais même pas les responsables de cette association. Les auteurs se plaignent et prétendent me supplier afin d’avoir le matériel nécessaire pour l’organisation de leur activité. C’est de la pure démagogie, car je ne me suis jamais mêlé, de près ou de loin, au café littéraire. Le personnel et l’équipement de l’établissement appartiennent à I’APC et je n’ai pas à agir au nom de notre institution». En ce qui concerne la disponibilité de la grand salle pour la pratique du sport, le président du COSB, s’interroge : «Pourquoi cherche-t-on à priver 400 jeunes et s’accaparer progressivement les lieux au profit de cafés littéraires qui peuvent bien se tenir ailleurs ou simplement en dehors des créneaux horaires réservés à ces jeunes ? Parmi eux un grand nombre est déjà sélectionné par la commission nationale des jeunes talents et ont besoin de préparation appropriée qu’il ne faut pas entraver. Leurs ainés sont actuellement parmi les équipes nationales. D’autres, sont au lycée national sportif de Draria».
Le président du COSB

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