«En tant que premier magistrat de la commune, nous avons accepté la tenue de ce Festival à Aït Ouabane. Nos moyens ont été mis à la disposition des organisateurs et nous les avons accompagnés durant cette semaine culturelle. Notre région est méconnue, ce Festival est une bonne occasion pour nous sortir de l’anonymat et briser la monotonie qui caractérise toute la région. 400 de nos jeunes ont été mobilisés pour veiller au grain. Ils ont donné une leçon de bravoure, d’union et de mobilisation pour relever le défi. Je pense que le Festival s’est bien passé, un grand bravo à nos villageois qui nous ont honoré de la plus belle manière et qui ont été à la hauteur».
Propos recueillis par Hocine T.
