Chaussées défoncées dans l’ancienne ville

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La ville de M’Chedallah, située à 50 km de Bouira, connaît des carences diverses en matière d’aménagement urbain. L’état de ses trottoirs, à titre d’exemple, est loin d’être reluisant, puisqu’ils présentent du carrelage défoncé par-ci et absent par-là. Au niveau de certains endroits un peu excentrés de cette grande agglomération, les trottoirs font carrément défaut, ce qui complique considérablement la circulation piétonnière. Quant au réseau routier, certains axes nécessitent une réhabilitation totale et urgente. C’est le cas de la route Boukrif Achour, dont la couche bitumeuse se trouve dans un état de dégradation avancée, caractérisée par des nids-de-poule, des trous, des cratères et des crevasses qui la rendent impraticable, voire dangereuse par endroits. Cette route débouche aussi sur l’école primaire Amri Abdallah. L’asphalte du tronçon qui dessert cet établissement scolaire est entièrement décapé. Passer via cette portion de route est loin de constituer une sinécure pour les automobilistes, en proie à des secousses violentes et incessantes. A la tombée de la pluie, les choses se compliquent davantage pour les écoliers qui doivent slalomer entre les mares d’eau et la boue. Ce ne sont là que quelques exemples des multiples insuffisances auxquelles est confrontée la population locale. «La ville de M’Chedallah a besoin d’un vrai plan d’aménagement urbain pour sa modernisation. Le carrelage des trottoirs est complètement usé et la chaussée qui tapisse les routes est carrément hors temps», regrette un citoyen de l’ex-Maillot.

Y Samir.

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