»Nous sommes dans un coma profond »

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Lors de la séance, débats, un promoteur de Tizi-Ouzou, qui dit avoir demandé une garantie au FGAR et interviendra pour donner un bref aperçu sur les conditions, très peu reluisantes, dans lesquelles évoluent les porteurs de projets de la Kabylie. « 15 entreprises ont quitté la région », soulignera-t-il. Et d’ajouter : « Nous avons souffert pendant 04 ans, du fait des événements qu’a connus la Kabylie. “Economiquement, nous sommes dans un coma profond ». Il demandera ensuite au premier responsable du FGAR de faire quelque choses pour les investisseurs en « souffrance ». La réponse du concerné était : « Nous ne pourrons pas accordé un traitement particulier pour une région ou une autre. Ensuite, notre statut ne nous permet pas d’accompagner les entreprises qui traînent des dettes derrières elles, mais le FGAR peut aider les PME viables pour des projets d’extensions ou de redémarrage ».

E. B.

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