l L’un des plus importants préalables au développement de la région de Larbaâ Nath Irathen, à savoir la disponibilité du foncier, constitue pour la commune un véritable goulot d’étranglement pour toute tentative de relancement d’un certain nombre de projets mis jusque-là en veilleuse.Les logements, toutes catégories confondues, ainsi que d’innombrables petits autres projets sont envoyés aux calendes grecques en raison justement de l’absence d’assiettes foncières susceptibles de les contenir au niveau de la commune. Le marché des fruits et légumes, délocalisé récemment à l’est de la ville, dans l’ex-Sempac, en contrebas de l’ex-brigade de gendarmerie est un exemple illustratif. Ce dernier constitue toujours un véritable casse-tête pour les autorités dès lors qu’il est devenu très encombrant et exigu au niveau du chef-lieu de part les énormes embouteillages et désagréments qu’il engendre. Ainsi son transfert vers d’autres lieux plus adéquats n’est pas pour demain en raison, encore une fois de l’indisponibilité d’assiettes de terrain indiquées. Aujourd’hui, force est de constater, qu’il est impératif de trouver des alternatives pour permettre le développement local auquel aspire toute la population de la région.
S. K. S.
