Dans la seconde édition du bulletin d’information de la commune de Larbaâ Nath Irathen, le premier responsable de l’APC a apporté des précisions sur le licenciement, pour rappel, de trente et un travailleurs dont sept filles, suite au non renouvellement des contrats mensuels de certains d’entre eux payés sur chantiers. Les responsables communaux affirment que cette décision n’a pas été prise de gaieté de cœur par les élus, et “il a été pénible et douloureux de procéder à l’arrêt de la relation qui existait entre l’APC et ces travailleurs, mais la réalité d’une gestion rationnelle nous l’a imposée” lit-on dans les colonnes de cette deuxième édition. Selon toujours le bulletin Tudert n’tghiwant, le président de l’APC a maintes fois réunis ces travailleurs pour leur dire que l’APC ne peut pas les payer. comme il leur a suggéré l’alternative de les recaser à travers les chantiers des promoteurs de la commune. Seuls deux ou trois d’entre eux ont accepté de saisir cette opportunité pour prendre en charge leur destin. Des propositions d’intégration dans le service voirie leurs ont été soumises lors de réunions avec les élus, et aussi des contrats IAIG et ESIL ont été proposés à certains d’entre eux, Cinq ont accepté. En conclusion, le P/APC ajoutera que l’APC a procédé au règlement de cinq mois d’arriérés de salaires dus et un mois pour les autres.
