De l’informatique pour les collégiens

Partager

Les responsables de l’établissement scolaire Ghoul-Rabah, implanté dans la région ouest de la commune d’Ath Laâziz, viennent d’aménager une salle pour le lancement des cours d’informatique et d’Internet pour les collégiens dudit CEM. En effet, c’est ce qu’a confirmé la directrice placée dernièrement en remplacement de l’ex-directeur, en l’occurrence Ali Mattki. De ce fait, notre interlocutrice a annoncé : “Nous avons reçu des instructions de la direction de l’éducation de la wilaya de Bouira afin de nous préparer pour le lancement de cette opération indispensable pour nos élèves”.

A souligner que ceux qui vont bénéficier des cours d’informatique et d’Internet (ligne ADSL), ce sont quelque 200 potaches issus des classes de la première année.

Par ailleurs, nous apprenons que ceux qui seront chargés de donner ces cours sont les enseignants de physique, lesquels ont suivi une formation durant les vacances d’été.

Il est à préciser que le lancement des cours débutera dans les prochaines semaines, selon toujours les dires de notre interlocutrice et cela après l’emplacement de l’équipement nécessaire.

L’emplacement de la salle d’informatique et d’Internet au sein du centre de l’établissement de Malla arrangera beaucoup les élèves et cela pour améliorer leurs connaissances.

La directrice du CEM a aussi déclaré : “Cette année et grâce à l’ouverture du deuxième établissement sis au chef-lieu, le taux des retards a baissé, et ce en plus de la possibilité de bénéficier de la demi-pension”.

A ce titre, la directrice a dit : “Sur les 672 élèves inscrits dans notre CEM, 436 bénéficient de la restauration.” Il reste cet épineux problème qui complique le bon déroulement des études des potaches, à savoir le transport scolaire.

De ce fait, la responsable du CEM de Malla affiche une mine enthousiaste quant aux moyens mis en place dans le cadre du transport scolaire. Selon elle, “il reste les collégiens issus des villages d’Iaâlwachen et d’Iboudrassen, où nous avons demandé d’établir une liste afin d’étudier leur cas”. Alors qu’à ce jour, depuis l’ouverture de ce collège en 1987, les élèves qui se sont succédés sur les bancs dudit collège endurent le manque des moyens de transport scolaire, ajoutés à ceux du chef-lieu communal.

A la fin, notre interlocutrice lance un appel aux services concernés, à savoir les autorités locales et les parents d’élèves afin de collaborer pour le bien des collégiens et garantir au moins leur réussite.

Amar Fedjkhi

Partager