Le conseil national du jeudi 18 janvier 2007 tant attendu par la population et les militants du FFS car représentant l’ultime chance pour le rétablissement de la situation du parti, ce parti qui incarne l’espoir du peuple algérien et l’unique chance pour l’avènement d’une deuxième république.
Cette population meurtrie s’est vue infliger une gifle historique car les résultats de ce conseil national n’ont pas abouti aux espérances attendues, au contraire, la direction du FFS a procédé à la falsification du message du président Hocine Aït Ahmed car ce dernier est connu pour sa culture politique et son éducation qui ne lui permettent pas d’utiliser un langage vulgaire et immoral car traiter les militants, cadres du parti et anciens 63 de truands relève de l’immoralité et de l’ingratitude, connaissant les valeurs morales et l’éducation de notre président, cela nous impose à tous d’accuser les membres de la direction actuelle du FFS de vouloir salir l’image du président auprès des militants et de la population et d’échafauder un coup d’Etat scientifique visant à l’écarter avant le prochain congrès national.
Cette situation nous interpelle à plus d’un titre à redoubler de vigilance car la direction est capable d’aller jusqu’à la disparition du FFS car ces éléments sont mus par un opportunisme aveugle et un appétit vorace d’atteindre leurs objectifs.
“Quand la raison d’Etat dépasse la raison” dixit Hocine Aït Ahmed.