Organisé par l’organisation mondial de la santé, » investir dans la santé et bâtir un avenir plus sûr » seront les principaux thèmes de ce débat visant à mettre en place un » filet de sécurité mondial » pour affronter les principaux problèmes de santé publique transfrontaliers. Cette journée est l’occasion pour l’Algérie pour annoncer son nouveau schéma de la santé pour une optimisation de la performance.
A cette occasion le secrétaire général de l’ONU a indique que l’entrée en vigueur, en juin 2007, de la version révisée du Règlement sanitaire international marquera une étape importante dans l’action menée à l’échelle mondiale pour mettre en place ou renforcer des mécanismes efficaces de notification des épidémies et d’intervention en la matière aux niveaux national et international.
L’Algérie de son coté a décidé se pratiquer le nouveau schéma de la santé, ce schéma qui vise une optimisation de la performance du secteur de la santé, permet également, de rapprocher ses services du citoyen.
Ceci se fera notamment, par le biais de la transformation des centres de santé en polycliniques où le patient pourra trouver la consultation spécialisée sans être obligé de se déplacer vers les grands centres médicaux, précisant dans ce sens que 1300 centres de santé sont ainsi concernés par ce changement de statut.
Ce schéma, impose, de ne plus inscrire de nouveaux projets sans une évaluation préalable des besoins de la région La célébration de cette journée a commencé officiellement a l’institut pasteur où le ministre de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière, M.Ammar Tou a indiqué l’obligation de la lutte contre les maladies. Par ailleurs, le nouveau schéma de la santé a été au centre de la séance de travail présidée vendredi par le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Amar Tou, à Bordj Bou Arreridj à l’issue de sa visite de deux jours dans cette wilaya.
Le ministre a, dans ce sens, instruit les responsable de son secteur à respecter la vision induite par ce schéma qui, a t-il dit, impose, entre autres, de ne plus inscrire de nouveaux projets sans une évaluation préalable des besoins de la région à laquelle il est destiné et de hiérarchiser les structures de la santé en matière de consultation et de soins médicaux.
R.N.