l Depuis le lancement des travaux de modernisation du tronçon de la RN 30 reliant la ville de M’chedallah, à celle de Saharidj (07 km), les plaques servant à l’indication du chemin libre à emprunter ne cessent de changer d’orientations, plusieurs fois dans la même journée, à gauche le matin, à droite le soir et quelquefois nulle part car renversées par le vent. Les usagers locaux se communiquent entre eux la direction du jour sans se fier ces plaques qui ont fini à cause de leurs “tromperies” répétitives par perdre leur crédibilités. Malheureusement, il est fréquent de voir des chauffeurs étrangers à la région tomber dans le… panneau en suivant la direction indiquée et tomber sur une route barrée après avoir parcour plusieurs kilomètres, piégés, ils n’ont d’autres choix que celui de rebrousser chemin en prenant d’énormes risques lors de la manœuvre pour faire demi-tour sur une étroite route de montagne bordée de falaises et de précipices de plusieurs centaines de mètres. C’est un miracle qu’aucun de ces nombreux usagers de cette route ne s’est retrouvé au fond d’un ravin sachant que la majorité roule de nuit, il suffirait d’une fausse manœuvre.
Les deux endroits où sont posées ces “plaques pièges” sont situés l’un à 20 m du siège de la subdivision des travaux publics et le second devant le siège de la gendarmerie de Saharidj.
Omar Soualah