«C’est l’avenir qui nous intéresse»

Partager

l Le centre culturel Mouloud-Mammeri de Bouira a accueilli, dans l’après-midi d’hier, les républicains postulant aux législatives dans le cadre de l’alliance ANR-UDR.

Prenant la parole le premier, Baïliche M’barek, membre de la direction de l’UDR, expliquera que « l’intégrité, l’honnêteté, la compétence et la représentativité » sont les critères qui ont fondamentalement pesé sur le choix de la liste de l’alliance. Plus loin, il expliquera que ces critères, entre autres, sont à même d’aboutir à la rupture avec le rythme impulser jusque-là à la chose politique. Une rupture, dira-t-il, que ne pourront réussir que « des hommes nouveaux ».

Prenant la parole à son tour et sur fond de ‘’djazaïr houra dimoucratia !’’ que la salle lui servira, Abbas Tahar, le premier sur la liste de l’alliance, présentera un à un ses onze ‘’coéquipiers’’ : Chenaf Rachid de la région de Aïn-Bessem, Hideb El-Madani, ancien vice-président (RCD) de la commune de Bordj Khris, Djedi Mohamed de Sour El-Ghozlane, Yahyaoui Madani et Baghdali Malika. L’orateur se dit honoré d’être choisi par l’une des références historique qu’est Rédha Malek et par un patriote de la trompe de Amara Benyounès. Avant de céder la parole à ses camarades, le tête de liste tiendra à souligner que « les législatives ne sont pas une fin. C’est l’avenir qui nous intéresse ». Par avenir, Abbas Tahar veut parler de ce pôle démocratique qui, de plus en plus, suscite de l’intérêt. Il informera à ce propos et sans donner plus de précision que des partis politiques sont en passe de rejoindre le pôle.

Lui succédant, Chenaf Rachid (ANR), le deuxième sur la liste, invite les citoyens à être au rendez-vous le 17 mai prochain. Il rappelera aussi le parcours de l’ANR, s’agissant notamment sa position par rapport au terrorisme : « Les militants de l’UDR et de l’ANR sont des patriotes !», conclut-il, avant d’être servi à son tour de ‘’Djazair houra dimoucratia !’’

Avant la fin de la rencontre, Baïliche M’barek reprendra la parole pour dire qu’il est temps que les républicains occupent des espaces dans la République. Une République sans républicains n’a pas de sens, suggère-t-il

T. O. A.

Partager