l Aucun accès, pas même l’ombre d’un sentier pédestre, ne rattache le pâté de maisons situées en bordure de la route reliant Aomar-Gare à Tizi Larbaâ et une partie du village “l’ancien” dont il est pourtant le prolongement.
Une situation déplorable ayant fait l’objet de réclamations qui sont restés vaines. Si on avait réalisé une route depuis la RN 25, les transporteurs auraient servi d’abord ces 50 maisons isolées, sans qu’ils ne subissent la corvée d’un détour par le haut.
Trop lasses d’attendre, ces 50 familles ont décidé de se prendre en charge elles-mêmes et sans attendre elles se sont déjà mises à l’œuvre en construisant un passage joignant cette partie inférieure de la cité à la RN 25.
Ce chemin auquel on a plané le sol, étalé du sable, sera incessamment ouvert aux résidants.
A. Chérif