Kamel Rahem à la recherche d’un éditeur

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l Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la qualité du produit de Kamel Rahem, le premier du genre, ne trouve pas, du moins pour l’instant, preneur. Ayant investi dans le genre chaâbi, avec des chansons, six dans l’ensemble véhiculant un message d’amour, Kamel, ce jeune chanteur issu du village Ait Abdelmoumene, situé dans la commune de Tizi n’Tleta, à quelques encablures du chef-lieu de la daïra des Ouadhias, rencontre toutes les peines du monde à trouver un éditeur qui prendra en charge son premier album “jusque-là je reste au stade de l’inscription de mon produit à l’ONDA, je comprend d’un côté le fait que la plupart des éditeurs se montrent réticents car, ils préfèrent le non-stop, c’est légitime, cependant, j’estime qu’il y a des milliers de citoyens qui adorent toujours le chaâbi, ils ont le droit d’avoir accès à travers de nouvelles voies, je pense que nous aurons notre mot à dire sur le marché, l’essentiel est qu’ils (les éditeurs) nous fassent confiance”, dira le très sympathique Kamel Rahem. Ce dernier semble, à travers cette brève entrevue que nous avons partagé, déterminé car pour lui “l’art mérite bien des sacrifices, je suis convaincu de cela”. L’appel trouvera-t-il echo ?

A. Z.

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