l Le pillage de sable a repris de plus belle, maintenant qu’il a beaucoup plu dans la région d’Aomar.
Ces eaux ont entraîné depuis les sommets des montagnes de gros gisements de sable qu’elles ont déposé dans les lits des oueds.
On voit pénétrer furtivement des tracteurs à bennes vers les lieux d’approvisionnement, et là on remarque qu’ils en ressortent pleins à craquer.
Chargements que ces pilleurs cèdent à raison de 3 500 DA les 2,5 m3, mais qu’ils montent assez souvent à 4 000 DA lorsque les contrôles sont présents sur les routes.
Ces vols ont été heureusement atténués par la disponibilité du sable de Boussaâda, qui doucement mais sûrement prend le dessus sur celui du Nord.
A. Ch.
