A tous, merci !

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Par Idir Benyounès

Notre (votre) journal fête aujourd’hui son cinquième anniversaire. En cette occasion, toute l’équipe de la Dépêche de Kabylie tient à vous remercier, vous, nos fidèles lecteurs (rices) pour vos encouragements et soutiens durant ces cinq années. Nos remerciements vont également à nos différents partenaires avec qui nous avons tissé des relations sincères, honnêtes et bien souvent amicales. Après cinq ans d’existence, la Dépêche de Kabylie, en constante écoute des lecteurs, est appelée à se “relooker”. Cela interviendra très prochainement. S’il est vrai que l’expérience d’un quotidien régional était inédite, il est également vrai qu’après cinq années de parution, nous cernons mieux les besoins et les attentes de notre lectorat.

La ligne éditoriale, toujours la même, que nous défendons depuis le jeudi 13 juin 2002, n’a pas bougé d’un iota. “Nous inscrivons résolument notre ligne dans le combat universel pour la démocratie et contre l’islamisme totalitaire et tous les intégrismes de même acabit”. Voilà ce que vous avez lu dans l’éditorial du premier numéro de notre journal, et que nous continuons de porter, de défendre et pour lequel nous nous battons depuis le premier numéro. Tous ceux qui ont tenté de nous distraire de cette ligne de conduite ont vite déchanté après avoir constaté que jamais le cap n’a subi le moindre ajustement. Même si les membres de l’équipe de la Dépêche de Kabylie sont jeunes, ils ont prouvé leur sens de l’éthique et de la déontologie journalistique. Nos détracteurs qui ont espéré, prié et travaillé — et continuent encore — pour nous faire taire ou disparaître, ont reçu une cinglante réponse de vous, lecteurs (rices). La Dépêche de Kabylie s’étant fait une place de choix dans le paysage médiatique national, il ne restait aux voyous que l’insulte, l’invective et les menaces… de mort.

Quant à nous, nous nous sommes attelés, et continuerons à faire un journal d’information le plus proche possible des préoccupations, mais aussi des espoirs de nos concitoyens. Nous n’aurons de cesse a tenté d’améliorer la qualité de notre journal et aller encore aux villages et douars les plus reculés et enclavés pour faire entendre à l’Algérie entière, leurs souffrances, leurs joies et leurs rêves.

Une fois encore, merci à tous. Merci de nous lire, de nous soutenir, de nous critiquer. Merci de nous permettre d’exister.

Tanemmirt seg-wul

I. Ben.

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