l La décharge publique de la commune de Saharidj implantée à la sortie du grand centre urbain de la même commune et qui reçoit quotidiennement des tonnes de déchets ménagères est laissée à son état initial, aucun aménagement n’a été procédé pour ce dépotoir sauvage faute d’enveloppe financière, ce qui risque de produire des maladies vu son implantation à quelques encablures d’un groupe d’habitations, du lycée Ali-Belkacemi, du centre de formation. Les administrations compétentes ne doivent-elles pas se pencher sur cet état de fait qui met chaque jour que Dieu fait en danger la santé de plusieurs milliers de citoyens?
Omar S.
