18 jours de captivité dans les caches du GSPC

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Voilà que l’on s’achemine vers le bouclage d’une troisième semaine de captivité du jeune émigré victime d’un kidnapping dans la soirée du mardi 7 août par un commando du GSPC dans son village de Berkouka.

En effet, l’attente est insupportable pour sa famille, mais également pour toute la population de Maâtkas qui est toujours en état de choc.

Pour mémoire, les ravisseurs ont exigé une somme faramineuse en contrepartie de la libération du jeune M. A., âgé de 34 ans, venu passer ses vacances parmi les siens. Une forte rançon que nul n’est évidemment en mesure de réuni. Surtout que sa famille n’est pas si aisée que l’auraient pensé ses ravisseurs du GSPC. Ainsi, depuis la libération de l’autre détenu de Draâ El-Mizan après paiement d’une rançon, l’on espère un heureux dénouement pour le jeune Maâtki.

En tout état de cause, un climat de psychose est actuellement perceptible chez la population particulièrement chez les familles commerçantes ou “capitalistes”.

Qui arrêtera cette macabre série de kidnappings qui frappe surtout cette région de Maâtkas située entre trois maquis du GSPC, à savoir Amjoudh au nord, Elmaz au Sud et Bounab à l’Ouest.

I. L.

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