Suite à l’interview accordé à M. Boualem Madi P/APC de Béjaïa paru dans votre édition du 30 août nous vous prions de bien vouloir insérer la mise au point suivante :
l S’agissant de la convocation des 23 élus, on se demande qui ils sont, sauf à croire qu’il s’est convoqué lui même avec l’ex-P/APC ou à considérer les visites de bienséance de quelques élus comme des séances de travail.
l Faire accroire que tous les élus voulaient le poste de vice-président relève de la pure affabulation dès lors que c’est nous-mêmes entre autres qui avons suggéré au vu de la courte échéance restante de travailler uniquement en commissions qu’il fallait restructurer en assemblée qu’il redoute à convoquer.
Un minimum d’honnêteté l’obligeait par contre à expliquer comment il a été tiré “du” sort et non pas désigné par ses pairs comme il le prétend.
l En fait de léthargie, c’est plutôt lui qui s’est réveillé d’une longue hibernation depuis son éviction du poste de vice-président. Contrairement à ses allégations, nous n’avons pas cessé pour notre part de dénoncer la gestion folklorique de la commune et avons proposé un vote de défiance de l’ex-P/APC au cours d’une assemblée à laquelle ce donneur de leçons s’est dérobé.
l Quant à nous accuser de courir derrière des intérêts que nous le mettons en défi d’énoncer, c’est vouloir cacher le soleil par un tamis et nous l’invitons pour ce faire à relire le délibération de la dernière assemblée lui attribuant un logement à Sidi-Ali Lebhar et qui fait l’objet d’annulation pour des motifs qu’il ne connaît que trop bien. Mais bien sûr il est difficile de voir ses bosses quand on fait du nomadisme politique.
La suite des propos sur la gestion et les projets est truffée d’inepties se passant de tous commentaires