l Suite aux réserves formulées par l’équipe d’Aït Houelhadj sur la participation du joueur Maâloum Merzouk à la rencontre de demi-finale qui a eu lieu dimanche passé et qui s’est soldée sur le score de 4 à 0 en faveur des Lions de Tafoughalt. Selon les dirigeants de l’équipe d’Aït Houelhadj, ce joueur, élève au lycée Ali Mellah est né en 1989, donc si on se référe aux conditions de participation au tournoi, Maâloum Merzouk n’a pas le droit de prendre part à la compétition inter-saison.
Plus loin encore, toujours selon le coach d’Aït Houelhadj, Seddiki Farid, les dirigeants de Tafoughalt ont inscrit sur la feuille de match le nom de Maâloum Karim qui n’est autre que le frère de Merzouk, ayant pris part à ce tournoi sous le nom de son frère Karim. Par suite de ces réserves de l’équipe d’Aït Houelhadj, les organisateurs de l’Association “Les Amis de Krim Belkacem”, ont décidé de reporter cette rencontre à une date ultérieure jusqu’à l’étude de ces réserves, et trancher sur le match des demi-finales ayant opposé les deux formations, les Lions de Tafoughalt et Aït Houelhadj. En attendant le résultat, l’autre finaliste de cette édition sportive, Rabet Ighil, attend avec impatience la date de cette finale des moins de 18 ans.
Amazigh Omar
Les Timezirits dans la cour des grands
l Continuant dans sa lancée, l’ES Timezrit, un club évoluant dans le championnat de la Régionale III GA centre, a cette fois-ci fait plier de grandes équipes de football en l’occurrence d’abord la KS Tichy, une formation sociétaire de la Régionale II centre qu’il a battu par 2-1, et ensuite l’Olympique d’Akbou une autre équipe évoluant celle là dans le championnat de la Régionale I centre qu’il a atomisé aussi sur le même score soit 2/1.
“L’EST est une excellente équipe aux ambitions assez grandes ayant des joueurs hyper motivés et aux talents avérés qui peuvent avec cette allure s’adjuger facilement l’accession au finish”, lança à chaud Hamici, le coach Akboucien, tout en reconnaissant que ses joueurs n’ont pas démérité. “Mes joueurs ont donné le meilleur d’eux-même, seulement, leur handicap, ils n’étaient pas habitués à jouer sur du turf”, renchérit-il. Quant à l’ES Timezrit qui rentre de plain-pied dans la cour des grands, la préparation draconienne de l’intersaison s’avéra payante pour elle en se mesurant à des équipes coriaces et aguerries de niveaux supérieurs. Bravo à la bande chère au coach Mohamed Messaoudi.
L. Beddar