Lancement de 40 logements LSP

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l Même si Tizi Ghennif a été érigée au statut de daïra depuis maintenant seize ans, le secteur de l’immobilier n’est pas encore assez développé. Le nombre de logements ne répond pas à la forte demande surtout en ce qui concerne le logement social locatif. Dans cet ordre d’idées, on peut même rappeler que l’affaire des logements squattés depuis six ans n’est pas encore réglée comme c’est le cas dans de nombreuses localités de la wilaya. Ainsi, pour acquérir ce toit, nombreux sont les citoyens qui optent pour le logement socio-participatif, néanmoins cela n’est pas donné ! En raison de son coût final en dépit de l’aide versée par la CNL. Selon une source locale, la commune a bénéficié de nombreux projets inhérents à cette formule.

D’ailleurs, le programme qui date de l’année 2000 a été lancé depuis près d’une année. Dernièrement un autre projet de 40 unités a été confié à un promoteur immobilier. Dans une virée sur les lieux, il nous été donné de constater que les travaux ont été lancés. Selon la cadence avec laquelle ils sont menés le délai sera respecté contrairement à d’autres entreprises qui ne font que traîner la patte. “C’est un entrepreneur qui a fait ses preuves dans d’autres chantiers ; tous les projets qu’ils a réalisés ont été livrés bien avant les délais qui leur sont impartis. Nous avons pleine confiance en lui”, nous a déclaré une source locale ayant requis l’anonymat. Même sentiment ressenti pas les postulants. “Nous sommes sûrs que nous aurons nos logements dans les délais”, nous a répondu l’un d’eux venu s’enquérir de la situation. L’entrepreneur lui-même nous a appris qu’il respectait scrupuleusement les clause consignées dans le cahier de charge. La même entreprise réalise dix-huit autres logements de même type à Draâ El Mizan.

En tout cas, la formule LSP intéresse de plus en plus les fonctionnaires notamment les couples d’enseignants. “Depuis la fin des années 80, je n’ai raté aucune occasion pour avoir mon propre logement. En vain, il a fallu attendre 2003 pour avoir cette chance. Car, on n’a plus le droit de postuler au logement social”, nous a confié un enseignant habitant dans un logement de fonction datant des années 70 dans une école primaire de la région.

Amar Ouramadane

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