La région de Kherrata et des environs a connu de fortes chûtes de pluies suivies de fortes rafales de vent mais sans causer de gros dégâts. Ce changement climatique subi et inattendu a été bien accueilli par les agriculteurs surtout en cette période de l’année.
D’ailleurs même le barrage d’Ighil-Emda a atteint un taux de remplissage assez appréciable permettant ainsi la production de l’énergie électrique d’une manière normale et suffisante. Mais le revers de la médaille, c’est que cette vague de froid qui a touché une grande partie de la population est mal appréciée par surtout lorsqu’on sait que cette frange de la population est pauvre et vit dans des conditions déplorables.
Donc, les habitants de ces contrées éloignées ne sont pas en mesure de faire face aux aléas de la vie tels que la cherté des produits de chauffage et autres.
Enfin, cette perturbation atmosphérique soudaine d’après les dires de quelques vieux de la région est un signe positif à tous les niveaux car de notre temps, l’eau de pluie est devenue plus qu’indispensable pour une saison bien réussie. Ne dit-on pas que l’eau c’est la vie ?
Smail Chenouf
