l La clôture de la septième édition de langue italienne était bien choisie par ses organisateurs, ce jeudi au Centre culturel italien. Elle était par l’Art plastique qui était présenté par la spécialiste dans ce domaine le docteur Luisella Bernardini qui a animé une conférence où elle a évoqué dans sa première partie la description de la mer comme toile de fond de la scène pittoresque de la deuxième moitié du dix-neuvième siècle. Ce thème choisi par les planificateurs de cette conférence est relatife au thème de la semaine « la langue italienne et la mer ».
La conférencière a expliqué que l’art plastique en Italie a connu une grande révolution au milieu du 18éme siècle, et cela par la parution de plusieurs écoles spécialisées en art plastique, et qui a conçu un modèle de diversité des expériences culturelles existantes à cette époque là, telle que l’école romaine fin du 18éme siècle et début du 19éme. Entre autres, elle a bien défini cela par le progrès civilisationnel durant l’époque où on enregistrait le développement scientifique, l’école romantique faisait appel aux sensations, à l’imagination, à l’inspiration plus que la réalité. Les artistes choisissaient la description de la mer comme une source d’inspiration et une façon d’exprimer leurs sensations, ainsi que leurs comportements.
L’intervenante a aussi déterminé les croyances de l’école réaliste qui selon ses dirigeants croyaient à la nécessité de présenter la réalité tout en projetant les lumières sur les aspects qui sont considérés comme primordiaux et que l’artiste doit transmettre au public. Par ailleurs, elle a réservé la deuxième partie aux critiques d’art et des idiologies.
Pour rappel, Luisella Bernaddini est professeur de l’histoire de l’art à l’Institut des Arts de Florence. Titulaire d’un diplôme universitaire, elle a à son actif plusieurs parutions littéraires telles que le café de Mikaël Injello, Opra…
La clôture de cette dernière journée a eu lieu par la projection du film L’Isola (L’île) de C. Quatriolio.
Kafia Aït Allouache
