l Dans notre livraison du mercredi 03/10/2007, l’article intitulé « M’chedallah, secteur sanitaire sous tension », de nombreuses mises au point ont été publiées. Pour rappel, la section syndicale UGTA du secteur sanitaire de M’chedallah avait, dans une déclaration rendue publique évoqué des sanctions arbitraires qu’aurait exercé le directeur de l’hôpital à l’encontre des travailleurs. Parmi les exemples de “décisions arbitraires” repris par notre rédaction, le cas d’un médecin réanimateur.
Ce dernier se considérant “victime” réagit au papier incriminé. Par déontologie, nous nous limitons à retenir le passage de sa longue “mise au point” qui correspond au papier sus cité : “… 48 heures avant ma suspension notifiée, je découvre stupéfait à travers un autre journal apparu le 03/10/2007, sous forme d’un “scoop”, ma suspension prochaine ! Cela est-il réglementaire ? Utilise-t-on un journal pour annoncer la suspension d’un cadre de la santé ? Diffamation contre ma personne en déclarant à travers la presse que je circule en tenue civile à l’intérieur du bloc opératoire, alors que tout le personnel de l’hôpital peut témoigner du contraire”, s’interroge et estime le médecin dans le document.
B. D. B.
