l On murmure ici et là à Aomar, surtout auprès des entrepreneurs et des milieux estudiantins, qu’une solution serait trouvée pour pallier au retard de livraison du nouveau CEM.
Rappelons qu’au départ, il était convenu que le projet serait livré le 1er novembre de l’année en cours. Mais les imprévus, qui ont surgi tout au long de l’exécution de travaux, ont créé un doute quant à la réception du projet dans les délais impartis. Les discussions autour du sujet ont pris des proportions inimaginables et ont donné lieu à des pronostics où l’on a misé sur un achèvement à temps ou en retard du CEM. Et c’est de là qu’a émergé la nouvelle disant que si l’on ne termine pas au temps prévu le CEM, les élèves de ce dernier seraient affectés à la nouvelle école récemment livrée.
A. Chérif