“Une ville sans culture est une ville morte”

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Devant un parterre d’hommes de théâtre, de cinéma, de musique et beaucoup d’intellectuels, l’homme politique et amateur de la culture a insisté, essentiellement sur le projet de développement de cette ville millénaire.

Zitouni, ce nom médiatisé dès sa nomination au sein de la mairie d’Alger grâce à la réalisation de nombreux projets socioculturels a bénéficié de la réputation du bon « gouverneur », dans la capitale, dès son arrivée sur la scène politique. Même s’il a été triomphalement acclamé par les assistants qui ont témoigné et reconnu, dans ce rendez-vous, le changement structurel de la ville depuis sa gouvernance, Zitouni a su rester modeste et réaliste en estimant qu’Alger est très loin de ressembler à un vrai carrefour de bien-être. Et pourtant, des projets de grande envergure qui n’ont pas été montés depuis l’indépendance de l’Algérie ont été réalisés par la wilaya d’Alger, avec à sa tête, Tayeb Zitouni, entre autres un centre de recherche scientifique qui jouit de plus de 30 espaces consacrés à diverses activités.

En plus de la réalisation de bibliothèques communales, la réouverture de salles de cinéma, la coproduction de films de cinéma, la wilaya s’était engagée dans d’importants projets à caractère social. Comme il l’a toujours soutenu, le politicien a appuyé sa politique quant à l’évolution de la stratégie de développement de la ville et il dira : « Une ville sans culture est une ville morte ». La réalisation de ces nombreux projets ne fait, sans aucun doute, que confirmer que la politique de l’ancien maire d’Alger est plus que crédible.

Fazila Boulahbal

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