l La décision de la direction de l’hôpital Khellil-Amrane de Béjaïa d’affecter un médecin généralistes vers une structure de base de la même ville n’est pas été du goût des participants de la santé publique qui sont allé jusqu’à observer une demi-journée de débrayage durant la matinée d’hier.
Le médecin en question sans poste préalable aujourd’hui était chef de service au PU de l’établissement hospitalier avant qu’il soit remplacée par un praticien spécialiste puis affecté par la suite comme chef d’unité de base à la polyclinique d’Ihaddaden, selon les dires du directeur de ce secteur sanitaire.
Sans mettre de qualifier cette grève “d’illégale”, le chef d’établissement M. Riane rejette en bloc que la décision soit ressentie comme une sanction, mais une simple remise à niveau des postes de chefferie selon les normes actuelles”.
Du côté du SNMG, syndicat de la corporation c’est un autre à notre soin de décider puisque la décision de la direction ayant souligné l’ire des praticiens de la santé publique est qualifiée de “mesure arbitraire.” Le docteur Khalef, en sa qualité de premier responsable local du syndicat des médecins généralistes dira à et effet que leur revendication est celle de réhabiliter le médecin en question dans un service initial sans exiger le poste de chef de service.
Les pourparlers ont eu lieu entre les contestataires et la direction durant la matinée d’hier sans pour autant arriver à un terrain d’entente du du fait que chaque partie campe sur sa décision.
Ainsi des prérogatives du chef d’établissement à la revendication syndicale c’est le fossé, qui se creuse davantage entre le partenaires social et la direction.
N. T.