l Suite à votre article de l’édition n° 1668 du 25 novembre 2007, je vous prie de bien vouloir insérer cette mise au point à la même place et à la même page, selon le droit qui m’est garanti par la loi.
Dans leur soi-disant point de presse organisé à Tizi-Ouzou, les candidats du FLN n’ont pas failli à leur art de démagogie et du mensonge.
Par respect et égard aux citoyens qui ont lu l’article de la Dépêche de Kabylie, je me vois dans l’obligation morale de répondre en apportant quelques éclaircissements que ces candidats ont omis de préciser, sans pour autant verser dans la polémique.
Le première attaque venant d’un ex-responsable de la commune que j’ai relevé de ces fonctions pour incompétence et comportement indigne avec les citoyens.
Pour ce qui est du régionalisme dont je suis coupable, la presse et les citoyens peuvent consulter le BS 2007, voté par l’APC, ils constaterons d’eux-mêmes que la région de Hasnaoua est la plus lésée parmi tous les villages.
S’agissant de mon soi-disant mépris envers les moudjahidines et les chouhadas je crois qu’en tant qu’élu d’un parti comme le FFS, je n’ai aucune leçon à recevoir de la part d’un parti qui a fait de notre histoire et de la mémoire collective un fonds de commerce.
D’ailleurs en témoignage de ma vive admiration envers les vrais moudjahidine et mon profond respect pour la mémoire des chouhada, j’ai dû me battre farouchement contre certains cercles occultes pour délibérer et baptiser le stade des 50 000 places de Boukhalfa au nom des douze chahides Sidi Mamar, et, ce, en plus de la réfection de plusieurs monuments de chouhadas chouhadas.
Concernant la gestion des affaires publiques, je dirais aussi à ces candidats FLN qu’avant de prêcher la bonne gouvernance à Tizi-Ouzou, il y a lieu de commencer par El-Mouradia là où ils sont maître des lieux.
Avec des milliards de dollars dans les caisses, la gestion du FLN a engendré: la misère sociale, l’insécurité, le chômage, la crise du logement, des harraga et j’en passe.
La seule chose que le FLN a réussi à faire, c’est d’avoir fait des Algériens un peuple pauvre dans un pays riche.
Quant au jugement de valeur contre ma personne, Tizi-Ouzou est une petite ville les gens connaissent les familles Nas Taaref Ennas.