Ces chiens errants, puisque c’est de ses canides qu’il est question, représentent un vrai danger pour la santé et l’intégrité physique des citoyens de Sidi Aïch vu les maladies très dangereuses qu’il peuvent véhiculées à l’image de la rage.
En effet, et cela dure depuis des années déjà, une petite virée au centre-ville à l’intersection du boulevard 1er Novembre et de la route menant vers l’autre rive de la Soummam qui coupe la ville en deux et aux alentours, ainsi qu’à l’intérieur du marché qui constitue un danger en soit et une source de pollution, tant qu’il n’est pas délocaliser aux abords de la ville nul n’est jamais sûr de ne pas faire une de ses rencontres déplaisantes avec un de ses canidés, véritable danger mobile dont les maladies sont visibles à l’œil nu sur leur peau et corps en état de décomposition. Ils se déplacent en solo et parfois en véritable meute, de jour comme de nuit. Ils côtoient les citoyens de passage en ces endroits et rôdent au alentours des étals, notamment les boucheries à l’intérieur du marché sans que personne ne s’en occupe, au point où ils sont devenus invisibles aux yeux de tout le monde, notamment les responsables locaux qui ne daignent pas prendre le problème en charge.
Et dire que ce spectacle désolant se déroule sous l’œil des responsables de la municipalité vu que le siège de l’APC est situé justement en cet endroit”.
Tout cela représente juste la partie émergée de l’iceberg, puisque les quartiers périphériques de la cité sont aussi concernés à un degré peut être plus alarmant. Espérons que la toute nouvelle APC se penchera sérieusement sur ce problème qui menace le citoyen dans son existence même. En attendant, “Sidi Aïch”, le saint patron de la ville veille sur ses enfants.
Arezki Toufouti