Un mois après le 8 décembre, date de l’installation du nouveau président de l’APC et malgré de larges consultations et tractations dans les coulisses, l’exécutif tarde à voir le jour.
Avec deux (2) sièges, sur les sept (7) que compte la municipalité de Tifra, mais avec un reliquat de voix en plus sur ces poursuivants immédiats, à savoir le parti du docteur Saâdi, le FFS est d’après son premier secrétaire local et président de l’actuel APC, en voie de trouvé un accord et un juste équilibre à même de satisfaire ces vis-à-vis pour l’installation de la nouvelle APC le 20 janvier prochain.
Après quoi, la municipalité pourra respirer un air de stabilité et échapper au blocage tant redouté par la population, lequel reste suspendu telle l’épée de Damoclès au dessous de sa tête, comme c’est le cas pour plus de 500 communes à travers le territoire national.
En attendant, la population scrute l’horizon avec beaucoup d’espoir car les querelles politiques ne l’intéresse guère.
Elle n’espère qu’une chose : que la sagesse prime sur toutes autres considérations politiques, partisans et matériels.
Arezki Boufatis