Entretien avec Boukir El Hadi, arrière-latéral de la JS Ighil Ouazzoug

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l La Dépêche de Kabylie : Présentez-vous tout d’abord à ceux qui ne vous connaissent pas encore ?

Boukir : Je suis né le 09/09/1987 à Akbou. C’est dans cette ville d’ailleurs que j’ai entamé mes débuts footballistiques en intégrant l’équipe de l’ES Akbou en étant poussin. Les dirigeants de l’ORBA, repérant mon talent, ont fait appel à mes services en 2000 et c’est dans ce club que j’ai gravi tous les échelons, de la catégorie minime jusqu’en junior.

Cette année, les dirigeants de la JS Ighil Ouazzoug m’ont contacté pour évoluer en seniors, j’ai accepté.

Est-ce que votre intégration était facile dans ce club ?

Certes, il y a une grande différence sur le plan rythme et le niveau n’est pas le même entre les petites catégories où le travail est axé sur l’apprentissage contrairement à la catégorie seniors où seul le rendement compte.

Malgré mon incorporation tardive en septembre alors que le groupe avait entamé la préparation en août, j’ai travaillé dur pour arracher ma place. Pour cela, sur 16 matches joués par le club, j’ai participé à 15 rencontres comme titulaire indiscutable.

Etes-vous satisfaits du bilan de votre championnat durant la première phase ?

On a bien démarré le championnat et à un moment donné on a flanché puis on a repris de plus belle. Je crois qu’on est sur la bonne voie.

Comment appréhendez-vous la phase-retour ?

Avec le renforcement de l’effectif par pas moins de 6 joueurs recrutés durant le Mercato, j’entrevoie la suite de la compétition sous de meilleurs auspices et je pourrais même dire que nous sommes aptes à jouer pour l’accession.

Le nul ramené d’Amizour où nous avons raté d’un cheveu la victoire augure des jours meilleurs pour nous.

Le mot de la fin ?

Mon vœu le plus cher serait d’arriver un jour à jouer dans un grand club comme la JSK et d’endosser le maillot de l’équipe nationale.

Réalisée par L. Beddar

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