Après celle signée avec l’université d’Ottawa (Canada) en date du 24 février dernier, l’université de Béjaïa a signé hier au campus Targua-Ouzemour une autre convention-cadre avec l’université de Metz (France).
Cela s’est fait lors de la visite d’une délégation, comprenant les représentants des universités de Metz et de Nancy, de l’Institut régional du travail social (IRTS) et du Centre régional d’études action (CREAL) de Lorraine à l’université de Béjaïa. Cette convention, indique-t-on, vient pour “compléter le réseau de coopération internationale, caractérisé par une quarantaine d’accords de partenariat”.
Ce nouvel accord, précise-t-on, porte essentiellement sur les domaines des sciences humaines, sciences et technologies, lettres et langues, droit, économie et gestion.
Comme le cadre de coopération est d’ores et déjà défini, il est attendu des deux universités de collaborer dans le domaine de la recherche, de l’enseignement et de la formation, mais également dans la diffusion des connaissances scientifiques et de la culture de nations du pourtour méditerranéen.
Cela étant convenu, les deux universités, à savoir l’université A. Mira de Béjaïa et l’université de Metz, projettent dans le cadre de la convention, signée hier, d’élaborer et de participer à des programmes conjoints de formation, d’enseignement et de recherche, à l’échange d’informations sur les activités scientifiques (documentations, publications, manifestations scientifiques, …à l’accueil et aide au séjour des personnels de l’établissement partenaire (chercheurs, enseignants, étudiants), co-encadrement des doctorants, aux échanges de personnel technique et administratif en fonction des besoins spécifiques, à la promotion et participation à toutes formes d’échanges susceptibles de valoriser les institutions et les activités scientifiques élaborées en commun dans leurs environnement économique, industriel, social et culturel et à l’accompagnement et échange dans le domaine de la nouvelle carte européenne de formation LMD (Licence, Master, Doctoral) et tant d’autres domaines de coopération.
D. S.
