l » Cette fête est pour nous une bouffée d’oxygène. Les artisans bijoutiers sont devenus comme des tambourinaires, ils travaillent l’été et sont oisifs à longueur d’année. Nous évoluons dans des conditions déplorables en raison de la cherté de la matière première, la rareté du corail, les problèmes de fiscalité et le manque d’outilage; c’est justement sur ce terrain que nous attendons : l’intervention de l’Etat dont les représentants ont fait des promesses à maintes reprises mais qui n’ont jamais été tenues. «
Propos recueillis par A.Z.